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| Les écrits de Kurisu | |
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Kurisu Comyv star ☆
Je suis arrivé le : 01/11/2011 J'ai : 35 J'habite : 93 (île de France)
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| Sujet: Les écrits de Kurisu Ven 17 Fév - 18:10 | |
| Voilà je me lance, n'hésitez pas critiquer en mal (je suis mso je sais, mais plus on critique plus on s'améliore. Je le mets sous spoile =) Le titre c'est Le Paradis de l'Enfer (chapitre 1 donc) EDIT: Tous les changements de paragraphes ont été sucré u_u - Spoiler:
Pendant que je parcourrai le sentier avec grâce, l’abruti qui me faisait face deux minutes auparavant m’agrippa par la hanche et me fit tomber. Quelques cailloux m’entaillèrent les genoux et une douleur lancinante apparue. Malgré tout, je ne devais pas le montrer auquel cas je pouvais rendre la mission plus périlleuse qu’elle ne l’était déjà. Ah ! S’il n’y avait pas toutes ses caméras rivées sur nous, ça ne se passerait pas ainsi. Il ne devait pas y avoir de bavure si non nous aurions de sacrés problèmes de paperasseries pendant plusieurs jours. Sans compter les conférences de presses et les journalistes qui s’acharneraient sur nous, jusqu’à nous considérer comme des monstres. Pourtant, les monstres, ce n’étaient pas nous, mais bien ceux de la même espèce que ce salopard. Soudain, l’abruti me rentra de nouveau dedans en me plaquant au sol lorsque je me rétablissais sur mes deux pieds. Il faisait au moins une tête de plus que moi et son corps était aussi large qu’un gorille. Comparé à mon petit gabarit, je ne faisais pas le poids. Néanmoins, j’étais agile et rapide. Pas assez à mon goût. Le dernier coup me faisait voir trente six chandelles. Heureusement, nous étions une équipe, donc mon coéquipier arrivait à la rescousse. Il empoigna d’une main ferme le visage surprit du ravisseur et l’envoya brouter l’herbe. - Ça va, Aaron ? Me demandait Doug, mon coéquipier et parrain en m’aidant à me relever. J’acquiesçais brièvement tandis que l’abruti reprenait des couleurs. Il était décidément immortel ! Et pourtant j’en connaissais un rayons sur les immortels, mais celui-ci n’étais qu’un simple humain. Pas si simple apparemment. Il a dû manger du lion pour en arriver là. Quoi qu’il en soit, ce grand gaillard voulait nous en faire voir de toutes les couleurs. Seulement, nous étions mieux préparés que lui et sa bonne femme. D’ailleurs, cette dernière venait à peine d’être attrapée par mes collègues. Les cris de la femme nous parvenaient même jusqu’ici. Les pauvres policiers qui s’occupaient d’elle, ils devaient avoir les tympans explosés. Un coup mal placé derrière sa nuque, et notre homme était à terre. Je lui mis les menottes à son dos et le trimballai comme je le pus sur mon épaule. Doug, quant-à lui alla récupérer les armes du forcené. Ils voulaient se faire sauter la cervelle dans une maternelle et avait demandé à sa fêlée de femme de le filmer. Un couple atypique aux goûts aussi bizarres que terrifiants. Pourquoi la peine de mort n’existait-elle plus ? Ces gens ne méritaient rien de plus que la mort. De toute manière, c’est ce qu’ils voulaient, alors pourquoi ne pas les y conduire ? En tant que flic et change-forme, j’en voyais un paquet de ces crétins qui jouaient avec la mort. Mais ceux-là gagnaient la médaille de la connerie et du mauvais goût. Au bureau, je m’allongeais sur le divan. La pièce était sombre à cause de l’heure tardive. Je n’avais même pas prit la peine d’allumer l’allogène qui se tenait droit comme un « i » dans un coin. En face de moi, se tenait Doug, les mains sur les hanches, me regardant avec insistance. Il était assit sur mon bureau en bazar. Le sien, accolé au mien, était étonnamment bien rangé. Nous avions nos quartiers au même endroit, ce qui ne nous dérangeait pas. Au contraire. - Tu dors ? Me demandait de sa grosse voix Doug sans me perdre de vue. - Non, si non je ne te répondrais plus. - Ce n’est pas faux. Nos conversations n’allaient guère au-delàs de trois phrases constructives quand nous étions de services. Doug était une personne agréable, mais discrète. Pourtant, quand on le branchait sur un sujet qui lui plaisait, alors il devenait un moulin à parole. Sa femme, au contraire, était une bavarde et m’agaçait un peu avec ses faux airs de bourgeoise. - Juanez, Rivière ! S’exclama le patron en arrivant dans notre bureau sans s’annoncer. Bon boulot ! - Merci. Répondit sobrement Doug. Je n’avais pas besoin de me tourner pour constater que notre patron était en tenue hawaïenne. Il vénérait totalement cette île et nous parlait sans arrêt de sa future retraite au bord de la mer. Quand il était aussi tard comme aujourd’hui, monsieur Rolex se laissait aller et ne lésinait pas sur sa tenue. Au son de ses pas, je dirais qu’il était chaussé de tong. Et dire que c’était l’un des inspecteurs de police les plus respectés et réputés de France. Toutes les grandes enquêtes étaient redirigées vers son secteur. Certes, il avait la gloire de la réussite, mais en contre partie, il avait trois fois plus de boulot qu’ailleurs. Son équipe n’était pourtant composée que de quatre individus. Doug Rivière était le plus âgé. Il allait vers la cinquantaine. Venait ensuite la vipère mademoiselle – très important de ne jamais dire madame ! – Bernard. Elle paraissait avoir soixante ans alors qu’elle en faisait vingt de moins. C’était sans doute pour cette raison qu’elle était toujours une mademoiselle et non une madame. Le dernier était un petit géni de l’informatique. On ne le voyait que très rarement, mais enquêtait dans l’ombre. Il avait même un nom de code. Il ne restait donc plus que moi. Jeune agent, vif et pas très téméraire. - Je vous autorise deux jours de repos. Nous disait le patron d’une voix suave. - Mais en ce qui concerne les labos… Commençais-je en me relevant d’un bond. - Ne vous méprenez pas. S’il y a du changement, vous serez les premiers avertis. - Ouais, c’est donc du repos sous condition. Disait avec amertume Doug en me lançant un regard en biais. - Je ne peux décemment pas laisser mes deux meilleurs agents dans la nature alors que l’affaire est sur le point d’être classée. Finissait le patron en sortant rapidement du bureau. Il ne nous avait même pas laissé le temps de réprimander quoi que ce soit. Je fixais alors Doug d’un air décontenancé. Lui aussi paraissait étonné par le son de cloche. Le repos passait encore, surtout au vu de l’interminable garde que nous venions d’effectuer. Près de quarante heures sans avoir pu fermer l’œil nous donnait la possibilité d’avoir un peu de vacances. Mais pour quelle raison l’affaire des laboratoires UNIFLEX allait-elle être classée ? D’ailleurs, Doug étaient toujours un agent en infiltration chez eux. Il n’était pas proche de découvrir ce qui se tramait à l’intérieur, mais il n’était pas non plus très loin. On surveillait ces laboratoires car nous étions persuadés qu’ils trafiquaient avec les mafias et autres gangs européens. Nous avions quelques indiques, qui nous assuraient que certains médicaments destinés aux pays du tiers-monde étaient des contrefaçons. C’était en cela, déjà une infraction importante que nous devions à tout prix prouver. Mais alors que nous recherchions de quoi détruire cette mafia du médicament frauduleux, Doug était parvenu à découvrir une autre facette de cette boite. Elle serait affiliée au grand banditisme et permettrait la fabrication et la recherche de nouvelles drogues. Mais il nous manquait des preuves tangibles que nous pourrions soumettre à une coure d’assise. Seulement, les preuves, nous n’en avions aucune et les rares témoins que nous avions réussis à avoir ne voulaient absolument pas témoigner devant un juge. Ils avaient trop peur des représailles. Et nous le comprenions vraiment. Ils avaient tous une famille qui auraient pu être la cible de criminels. - Pourquoi as-tu eu le droit à du repos, toi aussi ? M’exclamais-je en me rasseyant mollement sur le divan. - Je n’ai pas le droit à des vacances ? Me demandait-il en levant un sourcil. - Ce n’est pas ça que j’ai voulu dire, tu le sais très bien. Continuais-je en secouant la tête. - Je le sais. Ça m’étonne également. Il y avait plusieurs possibilités à cela. Soit les hautes pontes voulaient se débarrasser au plus vite de cette affaire, soit les pressions à l’encontre du patron devenaient trop élevées. Dans tout les cas, nous sentions que quelque chose n’allait pas. Ma tête tomba sur le dossier du divan et mes muscles se relâchèrent. - Je te ramène. S’écriait Doug en me secouant comme un pommier. Réveillé et de nouveau capable de me tenir debout, je suivis, non sans peine, mon parrain jusqu’au parking souterrain. Le silence nous envahissait. Il n’y avait plus grand monde à cette heure-ci et seule la voiture du patron et de sa secrétaire roucoulaient avec celle de Doug. Le monospace était vraiment confortable. Comme toujours, j’étais à l’arrière. Ça me permettait d’être totalement à l’aise. Ce que j’entends par « à l’aise » est la forte possibilité pour que je me transforme en un adorable chat. Et cette transformation était quasi certaine après une garde de plus de vingt quatre heures. J’avais apprit à me contrôler, mais pas à ce point. Surtout que les seules personnes que je connaissais depuis ma plus tendre enfance n’avaient aucunement la possibilité de se transformer en chat. Ou alors ils m’auraient bien eut ! - Tu peux te laisser aller. Mais reste sous ta forme animal, sinon je ne pourrais pas te porter. Me disait Doug en me regardant par le rétroviseur intérieur. - Non, c’est bon. Je ne ressens pas le besoin de me changer. - Tient, donc ! S’étonna Doug en se retournant vers moi alors que la voiture était à l’arrêt à un feu de signalisation. Qu’est-ce qui s’est passé ? - Rien. Il faut juste que je m’habitue un peu, maintenant que je suis sous les ordres du grand boss de la mafia policière. Ricanais-je. - A d’autre ! C’est quoi la véritable raison ? Insistait-il en reprenant la route. Je lui racontais alors la mésaventure que j’avais eue il y a quelques jours. Lorsque j’eus terminé, il se mit à rire fortement. C’était déjà assez humiliant comme ça. Il n’était pas obligé d’en rajouter une couche. Je ne pouvais pas lui en vouloir, j’aurais certainement rit autant à sa place. La porte de mon appartement était close et une odeur pénétrante me réveillait presque de mes songes. Doug m’avait simplement déposé. Il était repartit une fois s’être assuré que j’étais bien à l’intérieur de mon appart. Il m’était déjà arrivé de me retrouver coincé à ma porte à miauler toute la nuit. Cette fois-là, j’ai bien failli finir cuit à la broche par mon voisin qui ne supporte pas les animaux. Et à cause du stress, j’avais ruiné ma porte. Heureusement, j’étais propriétaire et j’ai pu changer la porte en toute quiétude sans rendre de comptes à qui que ce soit. - Chaton !!! S’exclama la voix aigue de mon épée de Damoclès. - Qu’est-ce que tu fous là ? M’exclamais-je sans prendre la moindre pincette. - Oh ! J’étais venu en espérant te voir dans ton plus bel habit. Je suis déçue. Astaroth était mon pêché. C’était ma chieuse, ma démone, mon mal de crâne quotidien. Je l’avais invoqué il y a plusieurs années quand j’ai prit conscience que je ne pouvais plus vivre normalement. Elle était devenue mon soutient quand j’allais mal. Quand je me métamorphosais en chat. Dans cette condition, je n’avais plus que quelques instincts humains. J’avais conscience de ma captivité dans un tel corps. Mais le chat était supérieur à moi. Et Astaroth prenait alors mon image et la montrait au gens. On me prenait souvent pour un fêlé avec un chat dans le sac. Mais je préférais cela que de devenir un rat de laboratoire. Le comble aurait été d’être enfermé dans les labos d’UNIFLEX. Dans la légende, Astaroth était un démon de l’enfer qui s’occupe de la trésorerie. Je n’ai jamais comprit pourquoi les démons avaient des métiers et encore moins pour quelle raison ils avaient besoin de trésorier. Les vagues réponses qu’elle m’avait données ne m’inspiraient pas beaucoup plus. Certes, elle était avide, mais pas vraiment d’or et d’argent. Cette nuit, elle était vraiment magnifique. Elle changeait de forme autant qu’elle le désirait ce qui me donnait le tournis parfois. Elle portait une robe rouge vive moulante qui s’arrêtait au dessous de ses fesses. Ses formes généreuses lui donnaient un certain sex-appeal qu’elle n’avait que très rarement. Son visage fin et ses longs cheveux noirs lui allaient à ravir. Par contre, elle était pieds nus, comme à son habitude. La démone n’aimait pas du tout que ces petits pieds manucurés soient enfermés dans des chaussures. Même les tongs étaient de trop. - Tu reviens de boite ? Lui demandais-je en la reluquant des pieds à la tête. - Tu aimes ? Disait-elle en s’approchant langoureusement vers moi. - Si tu étais une femme, oui, mais tu es loin d’être féminine ! - Tu m’énerves ! S’écria-t-elle en se métamorphosant en un motard barbu. Ah, cette apparence ! Bizarrement, j’adorais quand elle se métamorphosait en homme. Elle devenait elle-même. Ses manières étaient plus masculines que féminines. Ce qui faisait que je la charriais souvent. Je me demandais même si en réalité elle n’était pas de sexe masculin. Mais cette conversation était taboue. - Là, tu es resplendissante, telle que je t’imagine dans mes rêves. - Connard ! Me dit-elle de sa voix aigue avant de disparaitre de l’appartement. Enfin tranquille, je plongeais dans mon lit qui se trouvait dans la seule chambre de l’appartement. Je n’avais pas allumé la lumière car je n’en avais pas réellement besoin. Ma condition de chat me donnait quelques avantages et désavantages. Je voyais assez bien dans le noir ce qui était d’une réelle utilité dans les missions d’infiltrations. Ça me demandait tout de même pas mal d’énergie. Je n’utilisais donc pas très souvent ce don. Malheureusement, certains de ses dons n’en étaient plus lorsqu’on était dans la vie active comme moi. Le métro et les transports en communs en général étaient un cauchemar pour moi. Les odeurs et le bruit m’achevaient. Je faisais tout pour éviter ce genre d’endroit. Ce qui compliquait aussi ma vie amoureuse. Alors que j’allais enfin m’assoupir, Mistinguette et Mistigri, mes deux chats me sautaient sur le dos en signe de protestation. Je les avais oubliés et ils n’avaient plus rien à manger depuis plusieurs heures. Misty numéro 1 était une femelle. Elle m’adorait lorsque j’étais sous ma forme de chat. Elle était canon pour un chat. Très poilue – mon aspirateur l’aime moins – elle était d’une blancheur extrême. Elle pourrait faire les pubs pour les boites de pâté pour chat. Misty numéro 2, en revanche me détestait, à part lorsque je lui donnais à bouffer. Lui, était tout noir et se cachait facilement sous les meubles quand un étranger se pointait à mon appartement. Ils étaient frères et sœurs. Qui l’eut cru ? Lorsque je criais le nom « Misty », mes deux boules de poils préférés débarquaient en courant, croyant que de la bonne pâtée leur seraient servit. Pas de chance, je n’étais pas riche et franchement, je payais assez mes conneries de chat pour en plus leur offrir le top du top. Je déposais une assiette pour chacun près d’un meuble de cuisine et les laissais manger tranquillement. Le temps qu’ils prendront pour tout dévorer me permettra de m’endormir. Pourtant, le téléphone sonna et me réveilla en sursaut. Il faisait déjà jour pourtant j’avais l’impression d’avoir dormit seulement cinq minutes. Je me levais donc à pas lent et attrapais le combiné du téléphone. D’une voix pâteuse, je répondis sans grande conviction à ma sœur. - T’as une voix… Me disait-elle surprise. Je t’ai réveillé ? - Ouais… Dis-je avec amertume. - Non, mais t’as vu l’heure ? Il est au moins treize heures ! Pourquoi tu pionces encore ? Me demandait-elle rapidement, m’explosant les tympans par la même occasion. - Je bosse, moi ! Continuais-je du même ton. - Ah ! C’est vrai… Reprenait-elle dans un ton d’excuse. - Bon qu’est-ce que tu veux ? - Sympa… Moi qui voulais avoir de tes nouvelles. - A d’autre ! Ma très chère sœur ne m’appelait que lorsqu’elle avait besoin de moi. Elle était superficielle mais très droite. Elle pouvait paraitre fofolle de prime abord quand on ne la connaissait pas. Néanmoins, c’était une fille de dix sept ans, intelligente et qui savait à merveille jouer avec les hommes. Ce côté-là lui a valu pas mal d’ennuis et c’est bibi qui a dû s’occuper de ces derniers un brin trop pressant. - D’accord, mais tu me promets de ne pas monter sur tes grand chevaux. Aie… Qu’est-ce que c’était encore comme galère qu’elle allait m’annoncer ? Je m’attendais au pire. Serait-elle en taule ? Pas à cette heure-ci, je pense. Elle planifiait donc quelque chose. - Qu’est-ce que c’est ? Continuais en soupirant. - J’ai besoin que tu me fasses entrer en boite ce soir… - Quoi ? M’étonnais-je en hurlant tout seul. - Allez… Doug m’a dit que vous étiez de repos, alors t’es libre ! Traitre ! Doug n’était pas seulement mon parrain. C’était aussi l’homme qui a sauvé notre mère durant la guerre en Afghanistan. Juste avant que Shana ne naisse, Doug et notre mère était en mission militaire dans ce pays à haut risque. Il est devenu au fil des années un très bon ami de la famille. Et de surcroit était devenu mon parrain. - Ah ouais ? Qu’est-ce qui te fait croire ça ? Je suis peut-être de sortie ? - Genre ! T’es célibataire et tes amis sont aussi nombreux que mes poils sur les jambes ! - Continue comme ça et tu es sure que je t’emmènerais. - D’accord. Disait-elle plus sérieusement. C’est l’anniversaire de Tony et il m’a choisi, moi ! Tu te rends compte ? - Il t’a choisi ? Répétais-je en me grattant du doigt le crâne. Et c’est qui ce Tony ? - Tu le sais très bien ! me soutenait-elle. C’est le plus beau mec de tout Paname ! - Ah, je croyais que c’était moi. Je l’entendis rire derrière le combiné. Je n’étais pas ce qu’on appelait un beau gosse. Je me trouvais sans doute dans la moyenne. Mais je prenais tout de même soin de moi. Je n’avais déjà pas beaucoup de vie sociale à cause de ma condition, alors si en plus je devais me laisser aller, je ne serais plus qu’un boutonneux aux cheveux gras ne sortant qu’une fois par semaine pour aller chercher ses bières et pizzas. - Bon, qu’est-ce qu’il a de si important ce mec, pour qu’il me dépasse ? Reprenais-je. - C’est le gendre idéal. Il est à la Sorbonne dans le droit et il traine avec les mecs les plus classes qui existent. - Depuis quand les grosses têtes font partit des populaires ? M’étonnais-je surprit de sa réponse. A mon époque, les intellos, on leur jetait presque des pierres à leur passage. Les mentalités ont donc bien changées. - Attends, c’est la Sorbonne, quoi ! S’exclamait-elle comme si je ne comprenais rien à la vie. - Ce n’est pas Harvard, non plus… - Ce que tu es mauvaise langue ! Pas faux. Je n’aimais pas les gens qui profitaient de leur statut pour rabaisser les autres. Et c’était toujours les personnes sortant des grandes écoles qui l’étaient. Ce n’était pas ma faute si j’ai arrêté les études après le BAC… et encore, j’ai réussi à l’obtenir en trichant. Je suis rentré dans la police un peu par hasard et surtout par piston. Il s’est avéré que j’avais un bon sens de l’analyse et un côté passe partout qui me permettait d’entrer dans n’importe quel rôle de filature. J’acceptais d’emmener ma sœur en boite ce soir à une seule condition, que je la chaperonne de loin. Elle fut un peu réticente, mais elle était obliger d’accepter ce compromit si elle voulait vraiment sortir ce soir. A peine raccroché, le téléphone sonna de nouveau. Je le laissais sonner en espérant qu’on me laisse un message ou que ce ne soit pas ma sœur qui avait oublié de me dire quelque chose. Le répondeur du téléphone s’enclenchait et j’entendais la voix d’une femme.
Non non je vous rassure, le dernier spoile n'est pas la suite xD - Spoiler:
Et oui, le personnage principal est un mec, qui l'eut cru? J'ai jamais réussi à faire d'un héros une fille. Et d'ailleurs la première fois que j'utilise autant de perso fillss qui ne meurent pas dans la seconde où elles sont cités xD
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| | | Shina Comyv star ☆
Je suis arrivé le : 10/06/2011 J'ai : 30 J'habite : Bordeaux
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| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Sam 18 Fév - 9:59 | |
| Je viens de lire ton premier chapitre et je suis vachement intriguée par tes personnages, surtout Aaron et Astaroth ! L'un peut se transformer en chat et l'autre en tout ce qu'elle souhaite ? C'est étrange et pas commun, je n'ai encore jamais lu d'histoire comme la tienne, et ça me plaît énormément ! Le patron de Doug et Aaron... ça m'a bien faire rire lorsqu'il débarque en tenue Hawaïenne ! Ce passage est d'enfer xD. J'ai aussi apprécié le début du chapitre, avec la scène de "combat". Je trouve ça super que tu aies commencé par là. Ca nous met bien dans le bain et pour moi, j'ai immédiatement eu envie d'en savoir davantage. Après, concernant l'histoire avec le labo UNIFLEX, je me demande ce qu'y se trame là-bas... On en saura plus dans les prochains chapitres je suppose ?
Globalement, j'ai vraiment apprécié te lire. C'est parsemé d'humour simple tout au fil du texte et je suis comblée, il n'y a ni trop de descriptions, ni pas assez et idem pour les dialogues. (Personnellement j'ai du mal à savoir doser, j'aime les gros paragraphes.) Par contre, au niveau de tes dialogues, j'ai l'impression que tu n'utilises pas le bon temps. Par exemple ici : "- Ça va, Aaron ? Me demandait Doug", ce ne serait pas plutôt "me demanda Doug" ?
Voilà mon avis. Et le fait que le personnage soit un homme... +1000 ! ;) | |
| | | Hikari Grand comyv ☼
Je suis arrivé le : 15/06/2011 J'ai : 32
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| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Jeu 23 Fév - 19:34 | |
| J'aime beaucoup ce premier chapitre, tu as su le remplir d'intrigue, ça donne envie de savoir la suite. Et puis le thème est très intéressant, le fait que le gars se transforme c'est vraiment intéressant, j'ai envie d'en savoir plus !! Et puis comme le dit Sheena, il y a pleins d'humour, ça rend la lecture facile et divertissante. Par contre je n'ai pas vraiment compris le début, pourquoi le fait qu'il fasse quelque chose rendrait la mission périlleuse ? Il y a juste ce point sinon j'adore ! Ah oui ! J'aime beaucoup le personnage de Astaroth, j'adore le fait qu'elle puisse changer d'apparence, et sa relation avec Aaron m'intrigue, encore une fois : je veux en savoir plus !! A quand la suite ?!! Tu as vraiment du talent, tu arrives à amener de l'intrigue dès le début, c'est rempli de mystère! Une petite remarque : Quand tu as écrit " On ne le voyait que très rarement, mais enquêtait dans l’ombre ", tu ne l'aurais pas mal tourné ? Je pense que le "mais" est de trop... Bonne continuation !
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| | | Kurisu Comyv star ☆
Je suis arrivé le : 01/11/2011 J'ai : 35 J'habite : 93 (île de France)
D'autres renseignements Fan depuis: Plus de 5 ans Chanson(s) préférée(s): Concert(s) où j'étais:
| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Mar 28 Fév - 21:12 | |
| Sheena > Merciiiiiiiiiiii =) Si tu aimes ce genre d'histoires, je te conseille fortement Mercy Thompson de Patricia Briggs (mon livre de chevet dans le genre ^^) C'est le but et apparemment j'ai réussi. J'ai fait le début comme si je devais le lire. Je suis une chieuse, s'il n'y a pas d'action ou de mystère au début je zappe le livre u.u c’est pareil pour les films xD Bien sur, les labos sont très importants =) Tu en seras davantage plus tard =) Merci encore =) ça s'apprend, au fur et à mesure. J'ai eut aussi des soucis de dialogue trop long ou de paragraphes qui n'en finisse plus. J'ai opté pour des petits paragraphes, plus facile à lire et à ingurgité. Je suis une traumatisé de Zola xD En effet, ici c'est plutôt du passé simple que j'aurais dû mettre puisqu'on est dans le feu de l'action. L'imparfait et plutôt pour des dialogue zen. Je corrigerais ça Hikari> Merciiiiiiiiiiiiii aussi beaucoup pour tous ses compliments =) Ah c'est pas faux je ne le dit pas. Je devrais même carrément enlever cette phrase parce qu'elle est incohérente avec le reste de l'histoire. A la base ça devait avoir un rapport avec la transformation, mais finalement ça collerait pas. Je vais mettre la suite =) Non le mais n'est pas de trop, mais je vais essayer de mieux la formuler: On ne le voyais que très rarement, mais il enquêtait dans l'ombre" C'est bon comme ça? | |
| | | miu Comyv star ☆
Je suis arrivé le : 08/02/2012 J'ai : 26
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| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Sam 7 Avr - 11:31 | |
| waouh! j'adore *O* trop envie de savoir la suite du coup !! x) | |
| | | kkawai Petit comyv ♥
Je suis arrivé le : 14/06/2013 J'ai : 33 J'habite : Auray
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| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Mer 19 Juin - 9:05 | |
| ahaaa kiri je savais que j'allait te trouver dans cette partie du forum ^^
c'est ma sénariste n'a moaaa *-* hihi (je vais faire comme mon rat je vais te pisser dessu pour marquer mon territoire mdrrr) | |
| | | Kurisu Comyv star ☆
Je suis arrivé le : 01/11/2011 J'ai : 35 J'habite : 93 (île de France)
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| Sujet: Re: Les écrits de Kurisu Mer 19 Juin - 12:23 | |
| -_- Je ne relève même pas Rah c'est vieux, ce début n'existe même plus dans mes fichiers textes et y en a la pelle surtout depuis que tu dessines kkawai xD Et le roman est bouclé depuis un bail Mais si ça vous intéresse, je peux vous mettre le chapitre 1 d'une histoire, le avant BD et après. Parce qu'on n'écrit pas de la même façon et surtout ça n'a rien à voir entre un scénario de BD qui doit puncher de suite par rapport à un roman qui peut prendre son temps (pas trop quand même). | |
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